Le phénomène impressionnant du cycliste dépassant les 90 km/h sur deux roues
En 2025, il semble que certains jeunes adeptes du cyclisme cherchent à repousser toutes les limites, même celles en vigueur sur l’autoroute. La scène qui s’est déroulée samedi dernier sur l’A50 en Provence-Alpes-Côte d’Azur en est la preuve éclatante. Un cycliste de 16 ans, sur un VTT modifié, a frôlé la folie en dépassant un contrôle radar à plus de 90 km/h sans casque ni permis. Il s’est littéralement éclipsé devant les carabiniers, prouvant que certains ont décidé de faire leur propre course de vitesse… sur deux roues.
Une escapade à couper le souffle sur l’autoroute
Les agents de la CRS autoroutière, habitués à voir des excès de vitesse en voitures, ont été stupéfaits. Leur contrôle a viré au spectacle quand un jeune cycliste en VTT électrique trafiqué a doublé leur patrouille, affichant une vitesse effarante. La vitesse enregistrée ? 91 km/h alors que cette pratique est strictement interdite aux vélos. Surprenant ? Oui, mais ce n’est pas tout.
- Le vélo électrique modifié tournait à un moteur de 5000 W, bien au-delà de la limite autorisée.
- Le jeune homme prétendait s’être “perdu avec son GPS” et baragouinait sur un “petit moteur de 250W”.
- Les experts ont rapidement découvert qu’il s’agissait en réalité d’un dispositif plus puissant, équipé d’un compteur électronique de moto.
Les policiers ont même retrouvé dans la mémoire du système une pointe à 121 km/h, datant de quelques jours. Imaginez un peu : un jeune de 16 ans sans permis, trafiquant son vélo pour faire la course avec des voitures !
Les sanctions face à ces infractions inédites
Une telle infraction ne passe pas inaperçue. En 2025, la montée des amendes pour excès de vitesse s’applique également aux cyclistes. Même si le jeune ne « possède » qu’un moteur de 250 W, la puissance réelle de l’engin, combinée à sa vitesse, lui vaut une foule de sanctions :
- Confiscation du vélo trafiqué
- Amendes élevées pour conduite non homologuée
- Possibles poursuites pour conduite en situation dangereuse
- Saisie des dispositifs électriques illégaux
Pour ce jeune adepte de la vitesse, la sanction la plus immédiate reste la
confiscation de son vélo et une amende conséquente. Une démonstration que sur deux roues, la vitesse excessive peut coûter cher, surtout lorsque l’on n’a pas le droit de rouler sur l’autoroute.
Les enjeux de la sécurité routière face aux jeunes cyclistes dopés à la vitesse
Ce genre d’incident soulève de nombreuses questions sur la sécurité routière en 2025. Avec une popularité grandissante du cyclisme électrique trafiqué, il devient essentiel de rappeler que :
- Les règles pour la circulation à vélo doivent rester strictes, surtout sur l’autoroute
- Les engins non homologués présentent des risques importants pour leur pilote, mais aussi pour les autres usagers
- Les sanctions doivent être renforcées pour dissuader ces comportements dangereux
- Les jeunes doivent être sensibilisés aux dangers liés à la vitesse excessivement élevée sur deux roues
Une ascension inouïe des infractions liées au cyclisme imprudent et à la vitesse, mais aussi une évolution des mentalités. En 2025, la communauté réglementaire insiste sur la prévention, car, comme le souligne une étude récente, ces enfants et adolescents ne mesurent pas toujours l’impact de leur imprudence.
Une prévention essentielle pour éviter les drames futurs
Informer et éduquer reste la meilleure arme contre ces pratiques. La sécurité doit primer, particulièrement quand il s’agit de jeunes cyclistes qui rêvent d’atteindre des vitesses extrêmes. La réglementation s’adapte, mais la responsabilisation des jeunes reste centrale.